mercredi, novembre 09, 2011
The fool on the hill by SASIA
"Il y a toujours un peu de folie dans l'amour mais il y a toujours un peu de raison dans la folie." Friedrich Nietzsche
"De nos jours, l'on ne va plus à l'asile, on fonde le cubisme." Pablo Picasso
lundi, novembre 07, 2011
Asia barbapapa by SASIA
"Tant que la couleur de la peau sera plus importante que celle des yeux, nous ne connaîtrons pas la paix." Hailé Sélassié
dimanche, novembre 06, 2011
samedi, novembre 05, 2011
A genoux by SASIA
"Que le vil royaliste, à genoux au saint-lieu
Au céleste monarque adresse sa prière !
Le fier Républicain ne peut admettre un dieu
Pour lui pas plus de maître au ciel que sur la terre."
Sylvain Maréchal
"Ne se mettre à genoux que pour cueillir une fleur."
Jacques Brel
vendredi, novembre 04, 2011
Ouvrez les persiennes by SASIA
"Si vous voyez un banquier se jeter par la fenêtre, sautez derrière lui : vous pouvez être sûr qu'il y a quelque profit à prendre." Voltaire
Mrs Butterfly by SASIA
"La vie est la seule chose au monde pour laquelle il vaille la peine de mourir. Et l'amour est la seule chose qui nous permette de mériter pleinement la mort."
Louis hamelin
jeudi, novembre 03, 2011
China girl, vitruve, Iggy and Superman by SASIA
"Que vaut le temps, s'il n'en reste plus pour s'émouvoir, s'attendrir, aimer ? Ce n'est pas nous qui décidons de notre temps, mais le temps qui tisse les jours, fait et défait les volontés, les aspirations de l'homme." Laureanne Harvey
Comme un lego avec des mains by SASIA
"Le ministre de la guerre a donné sa démission. La guerre est supprimée." Jules Renard
"Les guerres ont toutes sortes de prétextes, mais n'ont jamais qu'une cause : l'armée. Otez l'armée, vous ôtez la guerre." Victor Hugo
"Je connais maintenant la définition de la guerre : la guerre, c'est la mort des autres. On ne la laisse durer que parce que ce sont les autres qui la font et qui en meurent." Jean Guéhenno
mercredi, septembre 14, 2011
samedi, août 27, 2011
mercredi, mars 23, 2011
une saison en enfer by SASIA
Jadis...
Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs, où tous les vins coulaient.
Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai trouvée amère. -Et je l'ai injuriée.
Je me suis armé contre la justice.
Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine, c'est à vous que mon trésor a été confié!
Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute l'espérance humaine. Sur toute joie pour l'étrangler j'ai fait le bond sourd de la bête féroce.
J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, avec le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie.
Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot.
Or, tout dernièrement, m'étant trouvé sur le point de faire le dernier couac! j'ai songé à rechercher le clef du festin ancien, où je reprendrais peut-être appétit.
La charité est cette clef. - Cette inspiration prouve que j'ai rêvé!
"Tu resteras hyène, etc....," se récrie le démon qui me couronna de si aimables pavots. "Gagne la mort avec tous tes appétits, et ton égoïsme et tous les péchés capitaux."
Ah! j'en ai trop pris: - Mais, cher Satan, je vous en conjure, une prunelle moins irritée! et en attendant les quelques petites lâchetés en retard, vous qui aimez dans l'écrivain l'absence des facultés descriptives ou instructives, je vous détache des quelques hideux feuillets de mon carnet de damné
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